«13 juillet 1944-9 mai 1945 : dix mois pour en finir avec Hitler »
448 pages.
Ed. Perrin, 2025.
Dim : 15,8 × 24,2 × 3,3 cm
EAN : 9782262103316
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300 jours - Eric Branca
«13 juillet 1944-9 mai 1945 : dix mois pour en finir avec Hitler »
448 pages.
Ed. Perrin, 2025.
Dim : 15,8 × 24,2 × 3,3 cm
EAN : 9782262103316
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4e de couverture :
« Une saga palpitante sur les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale. Juillet 1944. Tandis qu'à l'Est, l'Armée rouge casse définitivement les reins de la Wehrmacht (opération " Bagration ") et qu'à l'Ouest, Américains et Britanniques qui piétinaient depuis le Débarquement, percent enfin les défenses allemandes (opération " Cobra "), les chefs alliés sont optimistes : la guerre en Europe sera finie à Noël.
Tous se trompent. Elle durera dix mois encore. Les plus coûteux en vies humaines de tout le conflit. Comment l'Allemagne, dont les forces vives - hommes, matériels, infrastructures industrielles, ressources énergétiques - ont été saignées à blanc, a-t-elle pu tenir aussi longtemps ? Pourquoi Hitler, au contraire de Mussolini ou du dictateur roumain Antonescu, n'a-t-il pas été renversé ? Comment l'Union soviétique, dont plus de 20 millions de citoyens ont été exterminés en trois ans, est-elle parvenue, en quelques mois, à recouvrer le terrain perdu et à planter le drapeau rouge au sommet du Reichstag ? Pourquoi les Etats-Unis passent-ils pour le pays ayant le plus contribué à la victoire sur l'Allemagne alors que sur les 48 millions de morts provoqués par la guerre en Europe, 73 % sont des Russes (16 millions de civils et 9 millions de combattants soit 15 % de la population de l'URSS) et 0, 3% seulement des Américains (140 000 morts) ? Même illusion d'optique s'agissant des accords de Yalta (février 1945) et du prétendu " partage du monde " qui en a résulté.
Sait-on que ce n'est pas Roosevelt - trop rapidement taxé de complaisance avec Staline - qui a entériné les visées territoriales soviétiques sur l'Europe centrale, mais le très anticommuniste Churchill, cinq mois plus tôt à Moscou, pour préserver la sphère d'influence britannique sur la Grèce et la Méditerranée orientale ? Après tant d'ouvrages écrits sur la Seconde Guerre mondiale, raconter l'histoire de son achèvement européen était nécessaire pour tordre le cou à beaucoup d'idées reçues.
C'est l'objet de ce livre dont l'originalité repose sur les angles morts qu'il a choisi d'éclairer, et la force au rare talent d'écriture de son auteur ».
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