La vérité sur le crash du Concorde du 25 juillet 2000

Présentation par l'éditeur :

« Quand le Capitaine Marty Christian a pris le Vol du Concorde 4590, le 25 juillet 2000, il savait qu'il ne devait pas rater son envol. Son décollage devait être exemplaire. La veille, Tokyo demandait que le vol 4590 soit retardé jusqu'à l'arrivée du Président Jacques Chirac, de sa femme, et d’un groupe d'invités japonais qui voulait regarder le décollage du célèbre Concorde.

 Ce 25 juillet, le Capitaine Marty était un petit peu éloigné du terminal, mais à l'heure pour la démonstration présidentielle. Pour ce cas particulier, son temps exact de départ ne dépendait pas des règles inflexibles du plan de vol habituel Concorde Paris/New York. En effet, le vol 4590 était un vol spécial - un charter transportant 99 Allemands, un Américain, et les 9 membres de l'équipage français. […]

Quelques minutes après…

 Le capitaine Marty Christian venait de sauver les vies du Président de la France, de sa femme et de leurs invités japonais en évitant que le Concorde ne percute le Boeing, mais il ne put épargner les vies des 109 âmes à bord de son avion. Deux minutes et six secondes après avoir commencé sa procédure de décollage, le Concorde 4590 s'écrase sur “La Patte d'Oie” à Gonesse. […]

 Une enquête commence…

Les auteurs du sabotage savaient exactement où le Président Chirac se trouverait ce jour. Ils connaissaient aussi exactement les détails spécifiques des températures du système de carburant, de l'arrivée moteur en basse vitesse et les environnements des compartiments thermiques des moteurs. »